1. Comprendre le déplacement des masses d’air en fonction de la température
Mettre en place le dispositif remplir l’entonnoir d’eau (glacée ou très chaude). Prendre une lamelle de papier d’Arménie, la plier en forme d’accordéon, , l’allumer en soufflant légèrement pour éviter de l’enflammer car elle doit se consumer lentement.
Observer le trajet de la fumée et le schématiser ci-dessous. Compléter les phrases.
L’air chaud ....
L’air froid ....
Ce que je sais déjà d’après le cycle de l’eau pour une pression constante :
Lorsque la température diminue, la vapeur d’eau contenue dans l’atmosphère change d’état : elle devient liquide. C’est ce que l’on appelle la condensation.
Lorsque la température augmente, l’eau liquide contenue dans l’atmosphère change d’état : elle devient gazeuse. C’est ce que l’on appelle l’ évaporation.
Mettre en place le dispositif : dans une bouteille de soda, introduire de l’eau chaude (environ 5 cm). Introduire une allumette que l’on vient juste d’éteindre dans la bouteille, puis la fermer, l’agiter et la retourner deux ou trois fois pour éliminer la buée des parois. Puis mettre en place la pompe à air. Pomper. Attendre deux minutes. Déboucher la bouteille.
Si vous avez le temps, réessayez en versant de l’eau froide à la place de l’eau chaude. Puis en n’introduisant pas de fumée dans la bouteille, mais en versant de l’eau chaude.
(ou autre version, que je préfère : a partir des expériences réalisées, comment montrer qu’une baisse de température ou que la présence de poussières favorise la formation d’un nuage ?)
Observer ce qui se passe dans la bouteille. Compléter les schémas ci-dessous.
Complète le schéma ci-dessous, en indiquant le temps qu’il fait (soleil, nuage, pluie) et en notant les différents types de nuages
Mettre en place le dispositif : Pomper de l’air dans la bouteille plus ou moins en fonction de la pression à atteindre. Placer une languette de papier au-dessus de la valve de sortie de l’air. Ouvrir la valve.
Observer ce qui se passe au niveau du papier. Compléter les schémas ci-dessous, en indiquant les mouvement d’air (vent) et sa force.
Cependant, à cause de la rotation de la Terre sur elle même. Le vent suit les isobares en se dirigeant :
vers l’extérieur de l’anticyclone (en "tombant") en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre.
vers l’intérieur d’une dépression (en "s’élevant") en tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.
Ceci étant valable pour l’hémisphère nord, dans l’hémisphère sud, les vents tournent dans le sens contraire !
Indique au centre de chaque schéma, s’il s’agit d’une zone de haute ou basse pression, d’un anticyclone (A) ou d’une dépression (D) et le temps beau ou pluvieux.
Sur les cartes météo, les dépressions et anticyclones sont entourés de courbes appelées isobares, reliant tous les points de même pression atmosphérique. Ces isobares sont généralement espacés de 5 en 5 hPa.
Les anticyclones sont à l’origine de beau temps (p>1013 hPa) alors que les dépressions sont elles à l’origine de mauvais temps (p<1013 hPa).
Faite un bulletin météo pour un endroit donné à partir de cette carte de pression et de fronts
ressources pour trouver les cartes : http://marine.meteoconsult.fr/cartes-meteo-marine/frontologie-0.php
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